“Je voulais me démarquer”

Mégane, tout d’abord félicitations. Ce mardi c’est les retrouvailles, 8 candidats ont déjà été éliminés et vous êtes toujours là je vous présente Lorraine !

Merci, je suis très content, c’était la deuxième des trois phases que je me suis fixée : d’abord ne pas être le premier éliminé, ensuite parvenir à la réunification et enfin aller en orientation pour espérer des postes.

Comment avez-vous vécu la diffusion des premiers épisodes ?

Tout est positif, je reçois beaucoup de messages, de mails, de dessins d’enfants, beaucoup de gens me suivent et c’est très sympa. Même dans la rue, dans les magasins, les gens me reconnaissent et les gens m’approchent et me parlent poliment. Et il y a mes proches, ma famille, qui sont super fiers et heureux que je sois resté moi-même dans la série : souriant et avec mon petit personnage.

Seulement 20 grammes de riz par jour

Nous sommes encore à 20 jours de notre aventure. Physiquement et dans le contrôle de la faim, Est-ce que cela correspond à ce que vous aviez imaginé ?

J’ai été agréablement surpris, même si c’était encore très difficile. Pour vous donner une idée, nous consommons en moyenne 20 g de riz par jour et quelques crustacés. Mais je m’hydrate beaucoup sur l’île et je pense que cela a atténué la sensation de faim. Avant de partir, je me suis aussi préparé au pire : de la pluie tous les jours, pas de nourriture… Finalement, les conditions n’étaient pas si mauvaises.

Vous avez étonné tout le monde lors du test du paresseux puisqu’il a duré plus d’une heure !

Et quelle chute (rires). C’est dommage car je suis déséquilibrée Léa, j’aimerais voir combien de temps je pourrais tenir encore. Je voulais me démarquer dans l’épreuve individuelle. C’était très difficile, j’avais mal dès les premières minutes, la corde m’a coupé les avant-bras, j’ai encore des marques aujourd’hui ! Mais au bout de dix minutes, j’ai réussi à m’échapper, à regarder le paysage et à réaliser la chance que j’avais. En revanche, les jours suivants ont été difficiles, mes mains étaient paralysées. Heureusement, nous avons beaucoup de nuits blanches sur l’île car dès que le soleil se couche, il n’y a plus rien à faire. Cela m’a aidé à récupérer.

Malgré la bonne entente générale, quelques conflits sont survenus entre les membres de votre équipe rouge. Comment les avez-vous gérés ?

Je ne l’ai pas mal vécu, je m’y attendais, c’est normal. Encore faut-il se dire qu’au jour le jour nous vivons et dormons avec des gens qu’on ne connaît absolument pas, et dans des conditions difficiles. J’ai essayé de rester le plus loin possible, car je sais qu’un petit grain de sable peut vite aggraver la situation et nous obliger à partir.

“Maxime nous a caché qu’il voulait garder les bananes”

Sur Instagram tout au long de l’aventure, vous affichez votre complicité actuelle avec bon nombre des membres de votre équipe. Alors on en verra bientôt des jaunes ?

C’est possible, mais je ne le ferai plus (rires). Quoi qu’il en soit, oui, nous aimons regarder le spectacle entre nous, car nous comprenons mieux que quiconque ce que nous avons vécu. Et c’est une toute nouvelle aventure, on apprend des choses. Disons que Maxime qui voulait garder les bananes pour lui, on l’a découvert devant la télé, il nous l’a bien caché (rires). J’aime aussi découvrir la vie de camping des jaunes car on ne les a vus que dans les tests.

La mission “bananes” de Maxime.

Pour conquérir Koh-Lanta, il faut être fort dans les événements sportifs et être un stratège en coulisses. On se sent à l’aise dans les deux domaines, vous finirez sur des perches !

Joker! (rires) Ce qui est sûr, c’est que j’ai essayé de m’appuyer sur ma capacité d’adaptation pour durer. J’ai toujours beaucoup voyagé, je me suis retrouvé à l’autre bout du monde et j’ai dû trouver ma voie. C’est ma force, outre le fait que je me suis préparé au sport. Parce que sinon je suis parti sans stratégie.

Même hors de l’île, Mégane et Julie travaillent toujours sur leur équilibre

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