Fin heureuse? Non, les papillons noirs

Fin heureuse? Non, les papillons noirs

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Je savais déjà que Carice van Houten pouvait incarner de manière convaincante un rôle difficile Une femme vient chez le médecin. Mais avant de partir, je me demandais si elle réussirait bien en anglais Papillons noirs regardé. Heureusement, elle ne m’a pas déçu.

Avant le film, la réalisatrice Paula van der Oest a brièvement expliqué « son » film. Comme c’était spécial de tourner en Afrique du Sud. Mais aussi qu’il ne faut pas s’attendre à une fin heureuse. Pour diverses raisons, il aura fallu près de dix ans avant que le film arrive en salles. L’histoire est autobiographique et raconte la vie d’Ingrid Jonker, une poète sud-africaine sous le régime de l’apartheid. Un jour, Jack Cope, un écrivain, la sauve de la noyade. C’est le début d’une romance compliquée qui se termine grâce à l’ouverture d’esprit d’Ingrid. “Tout ce que je veux, c’est chez moi” est une citation du film qui décrit bien les sentiments d’Ingrid. Elle n’a jamais trouvé cela avec son père, ministre de droite du Parti national. Mais sa recherche semble sans fin.

Paula van der Oest a admis qu’elle n’avait jamais entendu parler d’Ingrid Jonker avant de commencer à travailler sur le film. Elle a découvert son histoire tragique à travers divers documentaires et a également vu un long métrage à ce sujet. L’histoire de la vie d’Ingrid montre à quel point une grande créativité peut jouer pour vous, mais aussi contre vous. Son côté sombre peut avoir un goût amer. Ce n’est pas une fin heureuse, mais le film laisse ensuite une profonde impression. En ce qui me concerne, c’est un superbe film final du festival.

Cette entrée a été publiée le 27 mars 2011 à 23h00 et classée sous Nouvelles. Vous pouvez suivre toutes les réponses à cette entrée via RSS2.0 alimentation. Tu peux laisser une réponseou trace de retour à partir de votre propre page.

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